jeudi 18 avril 2013

Le mariage pour tous met en danger la République

Mariage ou désastre pour tous ?
 
Hier, demain, partout, dans les villes, dans les campagnes, en ce moment même, la République française vacille.
 
Aux coups de boutoir du gouvernement, à l'inconséquence de Mme Taubira, aux pressions insupportables des lobbyistes - au premier rang desquels figure M. Pierre Bergé -, le Peuple répond par le plus grand mouvement de protestation du XXIème siècle.
 
Le Peuple, oui ! car les hommes, les femmes, les enfants qui descendent dans nos rues, ces êtres remarquables qui osent, en dépit des menaces de répression policière, défier l'autorité du clan socialiste, n'évoluent pas, eux, dans le faste des palais, oublieux des réalités sociales, oublieux des règles morales qui font qu'une communauté peut survivre.
 
Ils savent, ces gens, ce qu'est la sagesse éternelle des nations.
 
Vous, Messieurs les ministres, confondant, dans votre mépris, une poignée d'extrémistes avec la masse de Français raisonnables qui manifeste pacifiquement, vous les trouvez immatures, incultes, violents. Ce sont des barbares, peut-être.
 
Mais des barbares de la civilisation !
 
 
Relisez Victor Hugo rendant un hommage vibrant aux humbles, aux misérables, aux petites gens qui font de la France un grand pays :
 
"Ils semblaient des barbares et ils étaient des sauveurs. Ils réclamaient la lumière avec le masque de la nuit.
 
En regard de ces hommes, farouches, nous en convenons, et effrayants, mais farouches et effrayants pour le bien, il y a d'autres hommes, souriants, brodés, dorés, enrubannés, constellés, en bas de soie, en plumes blanches, en gants jaunes, en souliers vernis (...).
 
Entre les barbares de la civilisation et les civilisés de la barbarie, nous choisirions les barbares".
 
 
Et pourtant, la situation actuelle de notre pays, tiraillé par les oppositions légitimes et les groupuscules terroristes, ne serait pas aussi grave si le président de la République, M. François Hollande, daignait écouter le Peuple plutôt que de se laisser guider par le Parti socialiste.
 
Qui est son maître ? Ce clan à l'idéologie funeste ou le Peuple de France ? L'élite des beaux quartiers de Paris ou le pays tout entier, avec sa voix, ses valeurs, sa légitimité ?
 
L'opposition au communautarisme est un combat philosophique qui ne doit pas connaître de trêve.
 
En avril, en mai, toujours, pour l'éternité, c'est toute une nation qui va exprimer son indignation. La défense de notre civilisation est à ce prix.

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